En tant que consommateur de mazout, je me demande régulièrement : « Quel est mon prix du mazout de chauffage actuellement ? ». Grâce à Mazoutonline, j’ai la possibilité de me tenir informé à tout moment de l’évolution des tarifs du mazout. De cette manière, je peux choisir de commander mon combustible de chauffage au moment qui me paraît le plus opportun.
Mon prix du mazout de chauffage baisse un peu
Après avoir à nouveau évolué à plusieurs reprises au cours de la semaine qui vient de s’écouler, mon prix du mazout de chauffage est désormais de 0,7237 euro le litre pour une livraison minimale de 2.000 litres. Si je commande une telle quantité aujourd’hui, je paierai donc au maximum 1447,40 euros, soit une dizaine d’euros en moins que lundi passé.
Profiter de chaque diminution de mon prix du mazout de chauffage
Ces dernières semaines, mon prix du mazout de chauffage s’est montré très volatil. Au cours du mois de septembre, il a régulièrement oscillé entre un peu plus de 0,72 euro le litre et un peu moins de 0,75 euro. Ces montants n’avaient plus été atteints depuis quatre ans. Dans ce contexte relativement tendu, il est intéressant de profiter de chaque baisse de prix du mazout qui se présente.
Comparer, pour acheter du mazout moins cher
Je peux également bénéficier d’un tarif plus attractif en prenant le temps de connaître les offres des fournisseurs de ma région. Mazoutonline me permet de le faire très rapidement, grâce à son outil de comparaison des prix du mazout en ligne. Chaque distributeur peut en effet facturer le litre de mazout à un prix plus bas que le prix officiel s’il le désire.
Mon prix du mazout de chauffage impacté par la hausse des cours du pétrole
Si mon prix du mazout de chauffage bouge autant en ce moment, c’est parce qu’il suit la courbe tracée par les cours pétroliers. Les sanctions américaines vis-à-vis des exportations pétrolières iraniennes qui doivent entrer en vigueur le 4 novembre poussent les prix à la hausse. Dimanche, l’OPEP a également refusé de renforcer sa production afin d’augmenter l’offre à l’échelle mondiale, malgré la demande formulée à cet égard par le président des États-Unis Donald Trump. Le Brent a ainsi frôlé les 81 dollars le baril, un plafond qu’il n’a plus franchi depuis novembre 2014.
